Auteur: Kogan JF
Date de parution: 7 août 2015
Genre: Nouvelle
Editeur: L'Arlésienne
Merci aux éditions l'Arlésienne pour ce service presse numérique
Description
Magali est la tante du narrateur du vide-sanitaire. Cette femme semble avoir, de prime abord, tout pour plaire : c'est une créature sublime.
Une créature, oui. C'est le mot. Car Mag ne fait pas franchement partie de notre monde. Sa tête est ailleurs. Perpétuellement absente, son activité favorite consiste à longer les murs. Elle est indifférente à la mort de sa dame de compagnie, sauvagement assassinée (mais par qui ?), à son mariage, à ses enfants. Ce n'est pas de sa faute pourtant ! Mag est une sorte de coquille vide, un merveilleux coquillage.
Une créature, oui. C'est le mot. Car Mag ne fait pas franchement partie de notre monde. Sa tête est ailleurs. Perpétuellement absente, son activité favorite consiste à longer les murs. Elle est indifférente à la mort de sa dame de compagnie, sauvagement assassinée (mais par qui ?), à son mariage, à ses enfants. Ce n'est pas de sa faute pourtant ! Mag est une sorte de coquille vide, un merveilleux coquillage.
Mon avis
L'auteur nous offre ici une nouvelle retro bourrée d'humour noire qui présente des personnages, membres d'une famille un peu particulière: un grand père russe frivole, une grand-mère sans instinct maternelle, un fils qui a préféré partir vivre avec une fanfare et surtout une tante souffrant d'une maladie non nommée (certainement de l'autisme).
Cette jeune femme, qui se nomme tante Mag (mais ça vous l'avez compris) a toujours vécu dans un monde à part s'intéressant principalement à la découverte des rues de Paris. Après quelques années de vie aussi ordinaire que possible, elle va connaitre une fin assez horrible selon moi.
L'auteur arrive à harponner le lecteur dés la première phrase grâce à un style dynamique et drôle. Ses personnages sont bien décris et on se les imagine sans aucune difficultés.
Il s'agit d'une nouvelle courte mais très bien construite. Du coup on ne reste pas sur notre faim quand vient la fin.
Boulimique des livres
L'auteur arrive à harponner le lecteur dés la première phrase grâce à un style dynamique et drôle. Ses personnages sont bien décris et on se les imagine sans aucune difficultés.
Il s'agit d'une nouvelle courte mais très bien construite. Du coup on ne reste pas sur notre faim quand vient la fin.
Boulimique des livres
Ma note
5/5
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